Afel Bocoum est né d’une mère peule et d’un père sonrhaï, musicien. Ayant fait des études agricoles, il travaille à partir de 1978 dans le secteur du développement agricole[1].
En 1968, âgé de 13 ans, Afel Bocoum rejoint son oncle Ali Farka Touré, natif aussi de Niafunké, au sein du groupe Asco[2]. Il quitte le groupe en 1978 mais poursuit sa collaboration avec Ali Farka Touré pendant une trentaine d’années.
Dans les années 1980, il fonde son propre groupe qu’il baptise Alkibar — ce qui signifie « messager du grand fleuve », en langue sonrhaï. Il utilise des instruments traditionnels comme la njarka (violon à une corde), la njurkel (guitare à deux cordes), la calebasse, à côté de la guitare acoustique[3]. En 1997, il produit un premier album.
Afel Bocoum chante principalement en sonrhaï, sa langue maternelle, mais aussi en tamasheq, la langue des Touaregs, ainsi qu'en bambara[1]. Ses chansons évoquent l’évolution de la société malienne, la reconnaissance de la femme, les mariages forcés, le respect.
1.alasisi
2.jaman moro
3. Buribalal
4. Jeeny
5. Dofana 2
6.Yarabitala
7. Haira yo
8. salam aleikum
9. Cim Kayna
10. Mali Woymoyo
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